Le vent léger sur la bruyère Porte les senteurs de l‘été Et sa brise familière Fait vibrer les champs de blé Ton pas léger sur cette terre A la fraîcheur de tes vingt ans Va rêver sur la bruyère, Laisse s’écouler le temps...
Le soleil chaud sur la prairie Fait un bouquet de mille fleurs Et la rosée épanouie Les baigne de mille pleurs. Ton pas léger sur cette terre A le parfum de tes vingt ans Va marcher sur la bruyère Laisse s’écouler le temps…
L’odeur des fruits de l’automne Baigne l’air de ses saveurs Et j’écoute, monotone, Les bruits d’ailes sur les fleurs. Ton pas léger sur la bruyère Garde le goût de tes vingt ans, Va flâner sur la bruyère Laisse s’écouler le temps...
Laisse s’écouler le temps.
RépondreSupprimerLe vent léger sur la bruyère
Porte les senteurs de l‘été
Et sa brise familière
Fait vibrer les champs de blé
Ton pas léger sur cette terre
A la fraîcheur de tes vingt ans
Va rêver sur la bruyère,
Laisse s’écouler le temps...
Le soleil chaud sur la prairie
Fait un bouquet de mille fleurs
Et la rosée épanouie
Les baigne de mille pleurs.
Ton pas léger sur cette terre
A le parfum de tes vingt ans
Va marcher sur la bruyère
Laisse s’écouler le temps…
L’odeur des fruits de l’automne
Baigne l’air de ses saveurs
Et j’écoute, monotone,
Les bruits d’ailes sur les fleurs.
Ton pas léger sur la bruyère
Garde le goût de tes vingt ans,
Va flâner sur la bruyère
Laisse s’écouler le temps...
Audace !
RépondreSupprimerEt Si, pourquoi pas, je chantais ?
Quelques notes, une musique,
Un air venu on ne sait d’où
Des paroles nostalgiques,
Des trémolos, un amour fou…
Et Si, maintenant, j’écrivais ?
Lettres qui dansent sur les lignes,
Encres et plumes, claviers, cahiers,
Textes et mots tissés de signes
Pensées qui glissent sur le papier…
Et Si, cette fois, je disais ?
Peines des uns, amours des autres
Dans les poèmes exprimés !
Toutes ces joies et tous ces rêves
Par ma voix vous seraient contés…
Si j’osais...
Michèle